A en croire tes dires, vivre en tant que noir parmi les blancs ce n’est difficile que dans les histoires
C’est sûr qu l’apartheid c’est fini, mais moi le racisme, c’est mon quotidien, mon histoire
Si tu savais comme j’ai envie de te croire
Je veux y croire au monde de paix,
Que les gens blancs ou non se regroupent pour boire ensemble le café
Mais non, il faut être réaliste, il y a encore trop de blancs raciste
Et les noirs se souviennent encore des colons qui se sont présentés comme catéchistes
Tout le monde n’est pas ouvert d’esprit,
Et de cette attitude les gens de couleur en paye le prix
Va demander à un jeune latino de te dire ce qu’il pense de l’Amérique
Il te dirait sûrement que c’est un endroit de rêve et qu’il y irait bien un jour pour se faire plein de fric
Car lui, à l’abri chez sa mère, il ne fait pas partie des gueules qu’on casse
Il a besoin de passer la frontière pour voir ce qui se passe
Donne du fric à un sénégalais pour qu’il aille vivre en France
Il ne te remerciera jamais assez sur le moment car l’argent et l’illusion le met en transe
Mais en métropole, quand il ne trouvera même pas de riz à mettre dans son bol
Car, il est noir et ne trouve pas de travail car on a peur qu’il vole
Rend lui une petite visite et tu sauras à cette instant ce qu’il pense de toi
C’est vrai qu’il y a des noirs qui réussissent mais nous ne sommes pas tous Gondoleza Rice ou Nelson Mandela
Et même si Martin Luther King revient à la vie, rien ne changera
C’est encré dans la mémoire de chacun
Depuis la colonisation, noir signifie esclave
Et blancs pouvoir divin
Je te semble peut être trop pessimiste et bornée
Mais je cherche encore un moyen de changer l’humanité
Tu as changé de façon de voir et je t’en suis reconnaissante
Mais il y a encore trop de gens aveugle et ils ne sont pas que trente
Si je raconte mon histoire c’est pour que les gens se rende compte
Que si on laisse le racisme de côté, on peut s’entraider dans l’entente
Noirs et blancs peuvent dormir dans une même tante
Qu’un petit blanc n’a plus avoir honte d’avoir une noire comme tante
Je ne saurais assez bien décrire et je ne veux pas que ma haine envers ce qui me hait empire
Alors je délaisse ma plume
Et que même si le racisme est un crime
Je vais me taire
Je vais accepter mon sort car je ne peux changer qui je suis
Au risque de contrarier M .Jackson
De mes blessures je ne serais guérie mais tant que je pourrai
J’écrirai ce que je pense en essayant d’égaliser la plume de James Kerry
C’est sûr qu l’apartheid c’est fini, mais moi le racisme, c’est mon quotidien, mon histoire
Si tu savais comme j’ai envie de te croire
Je veux y croire au monde de paix,
Que les gens blancs ou non se regroupent pour boire ensemble le café
Mais non, il faut être réaliste, il y a encore trop de blancs raciste
Et les noirs se souviennent encore des colons qui se sont présentés comme catéchistes
Tout le monde n’est pas ouvert d’esprit,
Et de cette attitude les gens de couleur en paye le prix
Va demander à un jeune latino de te dire ce qu’il pense de l’Amérique
Il te dirait sûrement que c’est un endroit de rêve et qu’il y irait bien un jour pour se faire plein de fric
Car lui, à l’abri chez sa mère, il ne fait pas partie des gueules qu’on casse
Il a besoin de passer la frontière pour voir ce qui se passe
Donne du fric à un sénégalais pour qu’il aille vivre en France
Il ne te remerciera jamais assez sur le moment car l’argent et l’illusion le met en transe
Mais en métropole, quand il ne trouvera même pas de riz à mettre dans son bol
Car, il est noir et ne trouve pas de travail car on a peur qu’il vole
Rend lui une petite visite et tu sauras à cette instant ce qu’il pense de toi
C’est vrai qu’il y a des noirs qui réussissent mais nous ne sommes pas tous Gondoleza Rice ou Nelson Mandela
Et même si Martin Luther King revient à la vie, rien ne changera
C’est encré dans la mémoire de chacun
Depuis la colonisation, noir signifie esclave
Et blancs pouvoir divin
Je te semble peut être trop pessimiste et bornée
Mais je cherche encore un moyen de changer l’humanité
Tu as changé de façon de voir et je t’en suis reconnaissante
Mais il y a encore trop de gens aveugle et ils ne sont pas que trente
Si je raconte mon histoire c’est pour que les gens se rende compte
Que si on laisse le racisme de côté, on peut s’entraider dans l’entente
Noirs et blancs peuvent dormir dans une même tante
Qu’un petit blanc n’a plus avoir honte d’avoir une noire comme tante
Je ne saurais assez bien décrire et je ne veux pas que ma haine envers ce qui me hait empire
Alors je délaisse ma plume
Et que même si le racisme est un crime
Je vais me taire
Je vais accepter mon sort car je ne peux changer qui je suis
Au risque de contrarier M .Jackson
De mes blessures je ne serais guérie mais tant que je pourrai
J’écrirai ce que je pense en essayant d’égaliser la plume de James Kerry
