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De quel droit viens tu égayer mes rêves

kinkin

Maître Poète
#1
De quel droit viens tu égayer mes rêves
Je dors sur la béquille, j’ai la trique
Ses songes sont doux et érotiques
Je pense à toi quand je me lèves

Adolescents nous étions très proches
Nous sommes restés bons copains
Mais entre nous je vous assure pas un câlin
Jamais sortie ma capote de ma poche

Même pas un bon roulage de pelles
Pas épinglée a mon tableau de chasse
Je voulais gardé notre amitié pas de crasse
Et pour moi tu étais la plus belle

Nous dansions des slows tendrement
Pourtant il a suffi de pas grand-chose
Pour que je butine ta petite rose
Je n’étais pas assez entreprenant

Pas sûr de moi pour franchir le pas
Mes potes me poussait a passer à l’acte
Il était facile d’avoir un contact
Non une simple amitié entre elle et moi

Et puis un jour, tu as quittée le village
Sans un mot tu est partie comme ça
Laissant mon désespoir sur mes bras
En moi, j’ai des regrets d’avoir été sage

De toi j’ai eu quelques brides d’informations
Tu étais anesthésiste dans un hôpital
Mais rien de plus pas le Graal
Je restes sur ma faim mais bon

J’ai fait des recherches sur Internet
Elle sont restées pour le moment vaines
Qu’es tu devenue ma petite Fabienne
Sache que tu es dans un coin de ma tête


 
#2
Un amour de jeunesse quand même mon cher Kinkin qui vient se rappeler à toi, à vous dans la nuit, naît alors la fusion des âmes qui dans un élan affectif finalisent l’attirance sexuelle qui a toujours existé entre vous deux.
C’est au droit de l’amour Kinkin!.
Mon amitié
Momo
MLCCACTP
 
Dernière édition:

nacy

Maître Poète
#3
L'amour de jeunesse ne s'oublie guère ,il reste ancré dans le profond de notre âme ce sont les premiers transports de joie er d'amour que le coeur connaît pour quelqu'un d'autre à part sa propre famille.
J'espère que tu auras des nouvelles de ta chère Fabienne.
Agréable journée.
Nacy
 

saoirse

Maître Poète
#8
Ce sont parfois les plus belles ces romances qui n'ont jamais vu le jour et qui nous poursuivent dans nos rêves. Ces rendez-vous manqués quand Cupidon avait bu un coup de trop et que son tir manqua de précision :)
Elles sont douces tes mélancoliques songeries et en lisant ton texte je pense à un autre d'Antoine Pol mise en musique et chanté par Brassens